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Des histoires de Seuls
De Ace-iro — 16 août 2017 à 08h57
 Forget/oublier             :          PRologue partis 2 .                                   
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Marchant, je ne pouvais pas faire grand chose en tous cas pas parler étant donné que j'étais seul, quand la nuit commença à tombé, les températures firent de même passant de presque 15 degrés à a peut près -2. Je décida de rentré dans un magasin pour la nuit, alors que je me dirigeais  vers un centre commerciale, l'oparis (magasin de fruit et légume de meuble et électroménager )( dans les grand magasin il était plus susceptible d'y avoir des Chauffages, radiateurs ) je fus attiré par des bruits suspects je vus alors au loin une silouhette se déssiné, on aurait dit un chien :

- vient ici petit toutou.     dis je

un peut de compagnie ne m'aurait pas fait de mal.

Plus elle avancait plus elle grandissait passant d'un chien a un loup, d'un loup a un ours, d'un ours a un monstre. De prés on aurait dit un ours mais d'encore plus prés ses trait se rapprochaient plus de ceux d'un rongeur deux gigantesque incisives devant, deux longue oreilles dès ongles rétractable comme les félins et des pattes resemblant à celle d'un lièvre sauteur faitent pour faire des sauts vertigineux. Face à moi il ne tarda pas à sortir c'est griffe prés à m'attaquer, moi paralyser par la peur, étrangement il n'alla pas au bout de son mouvements pour me trancher. Il rabatta son bras et s'approcha, son expression donné l'impression qu'il me jugé, il était si proche que je sentais sa respiration, d'un moment à un autre il allait me mordre, quand il le fit je réussi enfin à bougé sûrement par pure instinct de conservation, de survie, je courrai jusqu'à la porte du magasin, lui il ne s'embarrassa pas et fracassa la baie vitrée, je me cacha  dans la partie jouet du magasin, dans une petite cabane pour enfant, il passa à quelques mètres de la ou je me cacher, puis découpa en morceaux le toit, je fuyais  tandis qu'il s'amusait à détruire les rayons, je courus de toutes mes force jusqu'à arrivé à l'entrepôt où l'ont rangeais toutes les machines électroménager entre autre les réfrigérateurs, les machines à laver, les sèches linges etc.                                                                                                                                                                                               Cacher entre deux caisse, il fallait que je trouve un plan, je monta, et fit du bruit pour l'attracté quand il arriva en bas du rayon je fis tombais une caisse afin qu'il me remarque, il commença à grimpé parfait il tomba dans mon piège, je poussa une  seconde caisse qu'il évita de justesse, puis une troixième qui était la plus lourde, je dus la poussais à l'aide de mes jambe, je me bloca entre le mur et la caisse et je poussa, et poussa jusqu'à ce qu'elle tombe par chance elle parvint a le faire tombais, il se redressa en hurlant de rage, c'est à cette instant que je me suis rendu compte qu'il foulait vraiment ma peau, quitte à périr.                                                                                         Ce rongeur ressembler à un prédateur et moi sa proie, quelle ironie en sachant que dans le règne/monde animale les rongeurs étais plus dès proie. Je descendis par une echelle, et couru jusqu'au rayon alimentation, enragé il frappa un rayon et le plia pratiquement en deux, une nouvelle idée me vins lui faire tomber dessus un rayon, une fois du côté du rayon je frappa, frappa jusqu'à ce qu'il lui tombe dessus enfin j'en avais fini il étais mort et enterré du moins c'était ce que je croyais, je me retourna et le vue se redresser, mais ce n'étais pas la première chose qui m'avais alerter, je m'étais retourner à  cause d'une odeur suspecte, du gaz ce monstre en s'amusant à détruire des rayons avais ouverts dans son passage des dizaines de bouteilles de gaz, dans mon gilet un briquet, de loin il me vue il n'étais pas bête son odorat devait être jusqu'à vingt fois plus développés que le miens je le dégaina et le lança de toutes mais force j'eu à peine le temp de courir et de sauter par la gigantesque baie vitrée fracasser que le souffle de l'explosion me propulsa sur dix mètre, à terre, j'étais tellement persuadé que se monstre était mort que je lâcha un soupire, mais se ne fut que de courte durée car dans les flammes je vue une nouvelle fois son regard, ses yeux rouges sang, il sortis et marcha, il était bien trop blessée son pelage était en flamme et pourtant il s'avança vers moi pour me tuer, trois mètres à peine nous séparé, et là il ralenti, s'essoufflant à vue d'œil, puis tomba, il était mort. Incroyable  c'était sûrement la journée la plus folle de ma vie même si je ne me souvenais d'absolument rien de mon passer. Je profitai du feu sortant du magasin pour me réchauffer tandis que le soleil se levé, demain était un autre jour, que je devais affronté seul.

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